Portrait Hackeuse : À la rencontre de Adjanie JACQUES, apprenante de la nouvelle session Hackeuses, Paris 20.

La nouvelle session Hackeuses à Paris 20e a démarré lundi 31 mai, une première semaine déjà très intense ! Le moment pour vous de faire connaissance avec Adjanie à travers son premier portrait.

8 juin 2021 |
  • Formation
  • Témoignage

Peux-tu nous résumer ton parcours ?

J’ai fait un parcours LEA, en langues étrangères appliquées où j’étudiais l’anglais et l’espagnol. Suite à cela, je me suis lancée en master MEEF (Métiers de l’Enseignement, de l’Education et de la Formation) pour être professeure d’anglais. J’ai travaillé 2 ans à l’Education Nationale en tant qu'assistante pédagogique où j’étais en binôme avec les professeurs, les maîtres d’écoles, ce qui me permettait d’avoir un travail plus approfondi avec les élèves. Malheureusement, la théorie et la réalité de terrain n’étaient, pour moi, pas en concordance. 

Suite à cette expérience, j’étais à temps plein dans la restauration, secteur dans lequel j’ai toujours évolué en parallèle de mes études, et avec lequel j’avais beaucoup d’aisance et de facilité. Je voulais faire quelque chose de simple à ce moment-là. Le numérique est arrivé dans ma vie en 2019 suite à un événement que je coordonnais avec mes collègues. C’était l'École 42 qui venait faire présentation pour inciter les femmes à se réorienter, et nous expliquer qu’il y avait un accompagnement, que tous les métiers étaient en train de se digitaliser et qu’il y avait de l’espoir pour les personnes qui souhaitaient faire autre chose.

Cela m’a mis la puce à l’oreille parce que je ne pensais pas que c’était aussi simple entre guillemets. Pour moi, il fallait commencer avec un bac +1, 2 ou 3, ensuite un master… Là, ils proposaient un parcours de formation qui me semblait atypique et que je ne connaissais pas. Ça m'a paru très intéressant ! De là, tout cela m’a travaillé mais je ne pouvais pas m’arrêter de travailler comme ça, puis il y a eu la Covid. Pendant tout ce temps où je n’ai pas pu exercer, j’ai pu réfléchir quelles auraient pu être les voies empruntées. Ça a mûri pendant à peu près 1 an, et suite à cela Simplon intervient. 

Comment as-tu découvert Simplon ?

Je faisais part à une amie de ma volonté de me réorienter et elle m’a fait savoir qu’un jour, elle avait reçu un mail de la part du Pôle Emploi et que cela pouvait m’intéresser. Je me suis dis que c’était pas mal, j’ai pu aller sur le site de Simplon, remplir le formulaire pour m’inscrire. Le parcours que vous proposiez avait l’air intéressant.

Pourquoi avoir choisi la formation Hackeuses ?

Le format, il s’agit d’une formation d’initiation donc j’ai supposé que l’on avançait pas à pas dans ce nouveau domaine, que c'était parfait pour pouvoir découvrir si c’est quelque chose pouvait me plaire ou pas. Également pour l’objectif ! Les femmes au cœur de la formation, qui souhaitent se réorienter donc nous donner plus de places.

Je n’ai trouvé que des avantages à faire cette formation, je n’ai absolument rien à perdre. Pour moi, c’était le moment ! On a pu faire la journée de découverte (JDE) qui m’a permis de découvrir le métier de dev, de pratiquer les langages HTML et CSS et je me suis dis “ Ah bah tiens, c’est intéressant et j'aimerai aller un peu plus loin ”. Cette demi-journée a confirmé mon envie de continuer sur la formation Hackeuses.

Quelles sont tes attentes aujourd'hui ?

Déjà, je souhaiterais aller au bout ! Être fière de moi, obtenir ma certification. J’aimerais ensuite vérifier l’orientation vers laquelle me tourner. En arrivant ici, j’étais plus partie sur le métier de web designeuse mais le codage est très intéressant. Donc j’attends de voir ce qui me plaît le plus afin de me projeter au mieux. 

Si le métier de web développeuse est retenu, je souhaiterais devenir fullstack. Maîtriser les langages. Idéalement, ce sera une formation plus longue et qualifiante. J'aimerais pouvoir attaquer une vie en entreprise et être polyvalente !

 

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