Portrait Hackeuse : À la rencontre de Véronique, apprenante de la nouvelle session Hackeuses, Paris 20

La nouvelle session Hackeuses à Paris 20e a démarré lundi 30 août, une première semaine déjà très intense ! Le moment pour vous de faire connaissance avec Véronique et à travers son premier portrait. 

7 septembre 2021 |
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Peux-tu nous résumer ton parcours ?

Je viens et suis restée une vingtaine d'années dans le domaine de la musique classique avec des études au conservatoire où j’ai aussi exercé en tant que professeure de violon. Voulant plus de stabilité, j’ai fait une reconversion en 2016 pour être assistante administrative mais cela ne m’a pas tellement plu. C’est pendant le confinement que j’ai eu l’usage d’outils numériques compte tenu des circonstances et j’ai eu envie d'approfondir la question. Je n’étais alors pas capable d'utiliser une application du style Zoom. 

Du coup, je m'y suis mise...J’avais assez peur de ce domaine-là jusqu’à présent parce que ça me paraissait trop compliqué et surtout j’avais l’image des camarades de classes au lycée qui faisaient de la programmation et qui étaient tous très scientifiques. 

Comment as-tu découvert Simplon ?

J’ai entendu parler de Simplon par le Club House il y a 3 ans. J’avais déjà connaissance de votre organisme avant de démarrer Hackeuses mais ne m’étais pas lancée à l’époque car il était indiqué “formation intensive” et à ce moment, je n’aurais pas pu y arriver et je m’étais dit “ça ne marchera pas, c’est pas la peine.” 

Le code aussi, pour moi c’était trop compliqué, des trucs, des formules… Voilà les deux points qui m’avaient freiné. 

Qu’est-ce qui a débloqué la situation ? Et Pourquoi avoir choisi la formation Hackeuses ?

J’ai eu plus d'informations via le webinaire Hackeuses et aussi l’après-midi journée de découverte (JDE). Tout cela grâce au mail de Pôle Emploi puisque j’ai tilté me disant que je vous connaissais déjà ! 

Et donc cette JDE m’a permis de me rendre compte que ce n’était pas si difficile que ça, que ce n’était pas non plus inné chez moi mais j’ai fait le rapprochement avec l’algèbre que j’avais fait au lycée. A savoir que c’était un mode de langage, différent mais pas insurmontable. Tout comme le solfège ! C’est vrai que le solfège est un langage aussi, particulier, qu’il faut maîtriser pour réussir à jouer un morceau de musique, donc oui c’est le même principe. 

C’est l’état d'esprit général de Simplon qui m’a motivée, plus que le format 100% femmes. Le fait que l’on soit dans la collaboration, et non la compétition individuelle ou le chacun pour soi a renforcé mon choix pour Simplon. 

Quelles sont tes attentes aujourd'hui ?

Je souhaite progresser de manière générale, notamment en code. Je me suis rendue compte que j’étais un peu rouillée en bureautique donc ça me ralentit.

J’ai un fonctionnement un peu sur le fil, je vais devoir rattraper au fur et à mesure les points que je n’aurais pas compris ou assimilés pour l’instant pour être prête à la fin ! Au niveau de la découverte des métiers, j’aimerais avoir plus d’informations sur le métier de développeur web. Les éléments obtenus par les trois anciennes Hackeuses qui sont venues nous voir m’ont permis de valider que je ne suis pas attirée par les métiers du réseaux. 

Mon but est de développer des sites pour des activités musicales. J’ai différents projets sur le net donc je pars sur du développement front. A voir la suite des événements...

 

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